Tout ce qui finit bien n’a pas toujours bien commencé. Pour les arborescents, il y a ainsi de multiples voies de croissance.

Celles qui les amènent dans mon cabinet sont liées à une recherche d’harmonie, ou à une volonté de trouver un équilibre, le bonheur, en somme !

La perception du déséquilibre peut être de différentes natures :

  • cognitif : « distrait, dans les nuages, il plane ». Ou au contraire, « speed, multitâches, hyper réactif »
  • émotionnel : hautement sensible, à fleur de peau, ou au contraire, rigide et froid.
  • Corporel : « ne s’arrête jamais, une pile électrique ». Ou au contraire « amorphe, muet, sauf sur les sujets qui l’intéressent ».

Trop lent, ou trop rapide. Pas assez sensible, ou trop susceptible.

Chez l’Arborescent lui-même, il y a souvent une impression d’être inadapté aux autres, voué à la solitude ou à porter un masque pour se rendre supportable. Parfois, il a même l’impression de ne pas comprendre comment il fonctionne lui-même, ce qui peut le rendre très malheureux.

Mais ce qui est vraiment passionnant, c’est qu’on peut apprendre à piloter cette arborescence. Il s’agit de conquérir l’arborescence… Et donc, de cesser de souffrir !